VIP 2018 : Jeu de piste à la BU via une application de jeux éducatifs mobiles

L’année dernière, le projet de jeu de piste de la BU réalisé avec JEM Inventor, application de jeux éducatifs mobiles, a participé à la journée VIP 2018. Au programme de cette journée concoctée par l’UBL : valoriser et partager les initiatives pédagogiques innovantes dans l’enseignement supérieur en Pays de la Loire et en Bretagne !

Un an après : l’équipe-projet, Emilie Denos, Aous Karoui et Mona Lira ont été accompagnés par le SPI, Service de Pédagogie et d’Innovation, de l’UBL dans la promotion de ce dispositif ludique de visite de la bibliothèque. Ainsi, une fiche détaillée et une vidéo de présentation du projet ont été conçu, afin d’accroître le d’expérience et de compétences entre les acteurs de l’enseignement supérieur au niveau interrégional et au-delà.

Parallèlement, l’équipe-projet de la BU a rencontré l’équipe de formation de la BU de l’UBS, Université Bretagne Sud, sur la thématiques des visites ludiques pour la rentrée universitaire. Et, en juin 2019, c’était à leur tour de présenter leur projet lors de la journée VIP 2019 ! Une belle histoire de transfert !

Présentation du fonds Pizarnik de la BU du Mans

Fernando Copello, professeur de littérature espagnole à Le Mans université, nous présente le fonds Pizarnik de la BU, en français puis en espagnol:

Présentation du fonds Pizarnik

« La Bibliothèque de l’Université du Mans est en train de constituer un fonds Alejandra Pizarnik (1936-1972). A. Pizarnik, écrivaine argentine d’origine juive russe, a vécu à Paris entre 1960 et 1964, où elle fréquentait Julio Cortázar, Octavio Paz et André Pieyre de Mandiargues… Ses recueils de poèmes, lettres et journaux sont actuellement traduits et publiés en France par Ypsilon Éditeur, José Corti et les Éditions des Busclats. La Bibliothèque Universitaire compte, parmi d’autres volumes, les premières éditions de Árbol de Diana (Buenos Aires, Sur, 1962 ; exemplaire ayant appartenu à Saúl Aronson, secrétaire de Victoria Ocampo), Extracción de la piedra de locura (Buenos Aires, Sudamericana, 1968), ou encore El infierno musical (Buenos Aires, Siglo XXI, 1971). Un exemplaire de la revue Testigo, acheté récemment, contient une version de La condesa sangrienta avant sa parution en livre. Plusieurs numéros de la revue Sur, dirigée par Victoria Ocampo, avec des collaborations d’Alejandra Pizarnik (poèmes et compte rendus) font partie de notre collection et peuvent être consultés sur place. La traduction en espagnol de La vie tranquille de Marguerite Duras se trouve également dans notre fonds. Les premiers ouvrages critiques sur la poétesse du Río de la Plata (Bernardo Ezequiel Koremblit, Julieta Gómez Paz, etc.) ainsi que des compte rendus concernant la parution de ses premiers livres (Ivonne Bordelois, Eduardo González Lanuza, etc.) se trouvent aussi dans notre bibliothèque. Une centaine d’ouvrages de ou sur Alejandra Pizarnik sont donc à la disposition du public intéressé. Ce fonds est en train de s’enrichir. »

 

 

Immeuble rue Saint-Sulpice à Paris, lieu de résidence d’Alejandra Pizarnik dans les années 60. Photo © E.C.

Hôpital Pirovano à Buenos Aires, là où Alejandra Pizarnik a passé ses dernières semaines. Photo © F.C.

Jardins du Palais Royal à Paris, banc Alejandra Pizarnik. Photo © FC

Presentación del Fondo Pizarnik

« La Biblioteca Universitaria de Le Mans está constituyendo un Fondo Alejandra Pizarnik (1936-1972). A. Pizarnik, escritora argentina de origen judío ruso, vivió en París entre 1960 y 1964. Allí frecuentaba a Julio Cortázar, Octavio Paz y André Pieyre de Mandiargues. Sus poemas, cartas y diarios están siendo traducidos y publicados en Francia por Ypsilon Éditeur, José Corti y Éditions des Busclats. La biblioteca de Le Mans cuenta, entre otros volúmenes, con las ediciones originales de Árbol de Diana (Buenos Aires, Sur, 1962; ejemplar que perteneció a Saúl Aronson, secretario de Victoria Ocampo), Extracción de la piedra de locura (Buenos Aires, Sudamericana, 1968) y El infierno musical (Buenos Aires, Siglo XXI, 1971). Un ejemplar de la revista Testigo, adquirido recientemente, contiene una versión de La condesa sangrienta antes de su aparición en libro. Muchos números de la revista Sur, dirigida por Victoria Ocampo, con colaboraciones de Alejandra Pizarnik (poemas o reseñas de libros) forman parte de nuestra colección y pueden ser consultados. La traducción al español de La vie tranquille de Marguerite Duras se encuentra también en nuestro fondo. Las primeras obras críticas sobre la poeta del Río de la Plata (Bernardo Ezequiel Koremblit, Julieta Gómez Paz, etc.) así como también las reseñas que comentan la publicación de sus primeros libros (Ivonne Bordelois, Eduardo González Lanuza, etc.) se encuentran igualmente en Le Mans. Un centenar de obras de o sobre Alejandra Pizarnik están así a disposición del público interesado. Y esta colección se va enriqueciendo poco a poco. »

La plupart des ouvrages de Pizarnik en libre accès sont localisés au 1er étage de la BU, en salle littérature, sous la cote 868.993 2 PIZ.

Venez les consulter et/ou les emprunter !

Vous êtes noyés sous la masse d’informations ?

La BU peut vous aider !

Le service d’accompagnement des usagers vous propose :

  • Des ateliers à la carte : Formations de courte durée pendant lesquelles vous pourrez découvrir les outils de recherche disponibles à la BU. Et c’est gratuit ! Pour plus d’informations, c’est ici. N’hésitez pas à vous inscrire.
  • Des rendez-vous avec un.e bibliothécaire : Rdv individuels pour vous accompagner et vous aider dans vos recherches d’informations. Renseignements et inscriptions.

Un concours de photo de coccinelle à la BU

Du 6 au 12 septembre, vous pourrez admirer des photos de coccinelle dans votre BU. Ces photos proviennent d’un concours organisé par Sarthe Nature Environnement, fédération des associations de protection de l’environnement du département. Sarthe Nature Environnement organise de tels concours chaque année. Pour cette année il a choisi, à l’occasion de l’anniversaire des 40 ans de l’association, de mettre en avant le thème de la coccinelle, emblème de l’association.
La coccinelle est surnommée « bête à bon dieu », nom qu’elle tire d’une légende médiévale dans laquelle une coccinelle, en s’acharnant à se poser sur le cou d’un homme condamné à la décapitation, a permis qu’il soit gracié par le roi Robert le Pieux qui y vit le signe d’une intervention divine. Son rôle dans la participation à l’équilibre de l’écosystème est essentiel.
Les photos de coccinelles présentés pour ce concours sont d’espèce européenne, non invasive, dans leur milieu naturel. Les photos retenues sont exposées à la BU du Mans du 6 au 12 septembre inclus. Vous pouvez voter pour votre photo préférée sur place à ces dates, en déposant un bulletin préimprimé dans l’urne, ou vous pouvez voter en ligne du 6 au 20 septembre.
Les photos exposés sont visibles depuis ce compte Flickr.

Tous à vos bulletins de vote !!!
Les noms des lauréats du concours seront annoncés le samedi 19 octobre, et la remise des prix aura lieu lors de la fête d’anniversaire des 40 ans de l’association sur le campus universitaire.

Trois poètes argentins s’exposent dans votre BU

La bibliothèque universitaire du Mans accueille une exposition du 19 septembre au 24 octobre, sur trois poètes argentins pour lesquels elle met à disposition des fonds documentaires conséquents.
Fernando Copello, un des concepteurs de l’exposition, nous en dévoile les contenus:

« La Bibliothèque Universitaire du Mans abrite un fonds Alejandra Pizarnik proposant une centaine de volumes de ou sur l’écrivaine argentine. L’institution a également reçu dernièrement un don de livres concernant Juan Gelman ayant appartenu à Philippe Friolet, spécialiste de cet auteur. Pour faire connaître ces fonds, la bibliothèque organise une exposition intitulée Trois poètes argentins à Paris (Gelman, Pizarnik, Walsh), qui réunit des documents iconographiques et des livres évoquant le long séjour parisien de ces trois poètes, nés à Buenos Aires dans les années 1930.
Une journée d’étude, organisée par le laboratoire 3L.AM, accompagne cette exposition le 10 octobre 2019. Son intitulé est le suivant : Représentations de l’enfance dans la poésie argentine du XXe siècle. Trois écrivains emblématiques : Juan Gelman, Alejandra Pizarnik et Maria Elena Walsh. Des spécialistes de ces trois auteurs, dont Edgardo Dobry, Geneviève Fabry, Maud Gaultier et Mariana Di Ció, participeront à cette journée. L’exposition, ouverte à tous, aura lieu du 19 septembre au 24 octobre 2019, du lundi au samedi à la Bibliothèque Universitaire du Mans : arrêt du tram Campus Ribay. »

L’exposition sera visible de 8h30 à 18h du lundi au vendredi, les 19 et 20 septembre, et à partir du 23 septembre, de 8h30 à 22h du lundi au vendredi et de 8h30 à 18h le samedi. Le vernissage de l’exposition est prévu pour le 24 septembre vers 12h30.

Pour en savoir plus

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